ROUDOUALLEC....
compteur LINKY, compteur maudit???....
- l'Allemagne les refuse.
- le Canada les retire.
- Le Québec revient sur leur installation généralisée.
- De plus en plus de communes les refusent.
- Les habitants s'y opposent.
- le "collectif" juge ces compteurs "intrusifs".
- Ils enregistrent heure par heure nos données personnelles.
- Ils sont piratables.
- Ils sont sujets aux bugs et aux virus.
- Ils peuvent provoquer des incendies.
- Et des dommages, par surtensions électriques.
- Ils émetttent des fréquences radio potentiellement cancérigènes.
- Ils nuisent à la vie animale et végétale.
- Les assurances refusent de couvrir les dégâts
liés aux rayonnements électromagnétiques.
- Ces compteurs induisent une augmentation de l'abonnement et une répercussion de leur coût sur les factures.
Ainsi parlaient quelques unes des personnes ayant assisté à la réunion sur ce sujet, à Roudouallec, il y a quelques jours. Force est de constater que le compteur LINKY est loin de faire l'unanimmité!
- le Canada les retire.
- Le Québec revient sur leur installation généralisée.
- De plus en plus de communes les refusent.
- Les habitants s'y opposent.
- le "collectif" juge ces compteurs "intrusifs".
- Ils enregistrent heure par heure nos données personnelles.
- Ils sont piratables.
- Ils sont sujets aux bugs et aux virus.
- Ils peuvent provoquer des incendies.
- Et des dommages, par surtensions électriques.
- Ils émetttent des fréquences radio potentiellement cancérigènes.
- Ils nuisent à la vie animale et végétale.
- Les assurances refusent de couvrir les dégâts
liés aux rayonnements électromagnétiques.
- Ces compteurs induisent une augmentation de l'abonnement et une répercussion de leur coût sur les factures.
Ainsi parlaient quelques unes des personnes ayant assisté à la réunion sur ce sujet, à Roudouallec, il y a quelques jours. Force est de constater que le compteur LINKY est loin de faire l'unanimmité!
un peu comme si vous y étiez....
Nous avons reçu ces photos de la part d'une très gentille dame, qui souhaite que l'on ne donne pas son nom et nous respectons donc cela. Ces photos ont été prises lors du tout récent petit Pardon de la chapelle Saint-Michel, au haut village du Moustoir, de là où l'on a une vue splendide sur notre belle commune de Roudouallec et de sa campagne. Merci à vous, ma chère amie!
33....
C'est quand même bien dommage qu'il n'y ait pas davantage de "jeunes" à participer aux lotos! Remarquez, il faut dire que les jeunes, à ces heures-là, sont au collège, au lycée ou au boulot dans les usines du coin. Ce qui explique pourquoi il y a tant de personnes disons "âgées" à poser leurs arrières-trains sur les chaises mises à leur disposition dans notre salle polyvalente. Sûrement que la présidente Josette ne doit pas être quand même déficitaire, sinon il y a longtemps qu'elle aurait arrêté de faire sauter ses boules dans sa machine diabolique! Il paraît que notre ami finistérien Jean Le Brocher n'a rien gagné cette fois-ci, lui qui gagne toujours un lot, d'habitude...Ici comme ailleurs, on ne gagne pas non plus à tous les coups.
encore gagnants!!....
Nicolas Godéré |
Les Ecureuils sont victorieux, ces temps-ci, et toute la population de notre commune en est bien contente. Nous allons en dire deux ou trois mots: une VICTOIRE contre St-Hernin, une VICTOIRE contre Poullaouen B par 3 à 2, de justesse, certes, mais victoire, néanmoins!! Figurez-vous que les Ecureuils sont en tête, avec Laz et Chateauneuf B. Que peut-on souhaiter de mieux, sinon que ça dure le plus longtemps possible!!!!
la messe est dite....
Le petit Pardon de la Chapelle Saint-Michel, au Moustoir, a eu lieu hier dimanche, par un temps assez beau bien que pas ensoleillé ni chaud. Nous sommes volontairement arrivé(s) en avance de façon à avoir le temps d'admirer calmement le splendide paysage de notre commune que l'on peut voir de là-haut.
Nous avons garé le véhicule tout près de la chapelle, au bord d'un talus. Nous avons alors bavardé avec des personnes de connaissance qui étaient elles-aussi arrivées en avance.... Puis nous avons fini par rentrer à l'intérieur de la sainte chapelle, laquelle avait été la veille bien nettoyée par notre amie Maya et son équipe de travailleuses qui ont ôté les crottes de caca des chauves-souris qui jonchaient le sol de la chapelle depuis les mois précédents.
Nous avons tout de suite remarqué qu'on avait retiré les beaux vitraux, sans doute pour les faire arranger, et remplacés par du simple verre dépoli. Hélas, les murs de cette partie de la chapelle sont fendus et carrément séparés, et nécessitent de toute urgence des réparations de grande envergure; mais pour cela, il faut de l'argent!! On replacera les vitraux après ces travaux, sûrement....
Il y avait un peu de monde, mais vraiment pas beaucoup, pas beaucoup. A ce rythme-là, bientôt, il n'y aura carrément plus personne. A qui la faute?? Les gens croient de moins en moins en Dieu? Ou alors ils s'en fichent complètement des petits pardons comme celui-là??...
Le curé Cadouëllan était largement en retard; alors, de guerre lasse, Maya a pris les choses en mains et a fait chanter les "fidèles" assis sur les chaises, dans la chapelle. Pendant ce chant, avec dix bonnes minutes de retard, l'abbé a fini par arriver, et a annoncé aux gens qu'il ne connaissait plus la route, qu'il l'avait oubliée et que quelqu'une, une dame du voisinage, avait fini par lui indiquer le chemin non pas du Paradis, mais tout simplement de la chapelle. Il a présenté ses excuses aux personnes qui se trouvaient dans la chapelle. Maya a mis fin au chant et passé le relais à l'abbé qui a alors commencé sa messe normalement.
Doux Jésus!! On l'entendait si peu, le pauvre abbé, qui avait une voix à peine audible; on aurait voulu "mettre plus fort" mais personne n'a osé lui dire de parler plus fort. Boff! On a quand même survécu!...
Quête, communion, cantiques, on a eu droit à tout le toutim; il faut des sous pour rénover le lieu saint....
Puis vint le moment de la procession; on "désigna des volontaires" pour porter la croix et la bannière verte et rouge. Puis on commença à former le "défilé" à l'intérieur de la chapelle; mais il faut bien dire que les gens se mettaient un peu n'importe comment les uns derrière les autres. Il s'agissait de descendre la route vers le pré où nous attendait du bois bien sec pour faire un feu dit de joie. On a un peu chanté durant la descente au pré mais on était vraiment loin de la religion, faut bien le dire!
Les gens marchaient, descendaient, mais on voyait bien que Dieu n'était pas le premier de leurs soucis! Les gens pensaient à la peine qu'ils auraient à remonter la côte après avoir un peu festoyé!! Les plus malins avaient laissé leur voiture en bas; mais de toutes les façons, ils ont eu quand même à remonter la côte à pieds au moins une fois, comme les autres après.
Donc, arrivés en bas, les gens se sont placés à bonne distance de ce qui allait être le feu de joie. L'abbé a trouvé un allume-gaz automatique, ce qui lui a permis d'allumer le feu, qui s'est mis à brûler bien joliment, il faut le dire. Yen a même qui ont chanté pendant que le bois brûlait! Certains se disaient qu'il pleuvrait sûrement le lendemain, c'est-à-dire ce lundi!...
Après le feu, direction la grande cabane en planches pour boire du café et savourer des gâteaux fabriqués par des dames habitant le voisinage. Nous, nous avons pris une tasse de café, mangé deux crêpes au lait et deux morceaux de très bon far breton; nous avons bavardé avec Jean, le moniteur de judo du coin. Toute la jaune tablée était garnie de monde et chacun donnait des sous comme il voulait car de toute façon, il n'y avait pas de prix affiché; c'était marqué:"pour la chapelle", sous-entendu que cet argent allait contribuer à financer les travaux d'amélioration du lieu saint....
Et puis tout ayant une fin, nous avons fini par nous lever de table un peu avant 6 heures, nous avons très péniblement remonté à pieds la côte, en nous arrêtant plusieurs fois, notre faible coeur battant la chamade. Nous avons été rattrapé par notre organiste Henri Scoul qui visiblement était plus dégourdi que nous; Henri nous a "doublé" à pieds et nous l'avons poursuivi bien poussivement! Nous pensions bien que notre coeur se serait arrêté avant que nous n'arrivions à notre voiture!
Ah, on allait oublier de le mentionner: dans la chapelle, l'organiste de St-Goazec, Alain Le Gall(et sa dame) jouait très très bien de l'orgue sur son clavier....
Et voilà un énième Pardon de St-Michel achevé encore une fois! Y en aura-t-il un autre l'année prochaine? Bien malin qui peut le dire....
Nous avons garé le véhicule tout près de la chapelle, au bord d'un talus. Nous avons alors bavardé avec des personnes de connaissance qui étaient elles-aussi arrivées en avance.... Puis nous avons fini par rentrer à l'intérieur de la sainte chapelle, laquelle avait été la veille bien nettoyée par notre amie Maya et son équipe de travailleuses qui ont ôté les crottes de caca des chauves-souris qui jonchaient le sol de la chapelle depuis les mois précédents.
Nous avons tout de suite remarqué qu'on avait retiré les beaux vitraux, sans doute pour les faire arranger, et remplacés par du simple verre dépoli. Hélas, les murs de cette partie de la chapelle sont fendus et carrément séparés, et nécessitent de toute urgence des réparations de grande envergure; mais pour cela, il faut de l'argent!! On replacera les vitraux après ces travaux, sûrement....
Il y avait un peu de monde, mais vraiment pas beaucoup, pas beaucoup. A ce rythme-là, bientôt, il n'y aura carrément plus personne. A qui la faute?? Les gens croient de moins en moins en Dieu? Ou alors ils s'en fichent complètement des petits pardons comme celui-là??...
Le curé Cadouëllan était largement en retard; alors, de guerre lasse, Maya a pris les choses en mains et a fait chanter les "fidèles" assis sur les chaises, dans la chapelle. Pendant ce chant, avec dix bonnes minutes de retard, l'abbé a fini par arriver, et a annoncé aux gens qu'il ne connaissait plus la route, qu'il l'avait oubliée et que quelqu'une, une dame du voisinage, avait fini par lui indiquer le chemin non pas du Paradis, mais tout simplement de la chapelle. Il a présenté ses excuses aux personnes qui se trouvaient dans la chapelle. Maya a mis fin au chant et passé le relais à l'abbé qui a alors commencé sa messe normalement.
Doux Jésus!! On l'entendait si peu, le pauvre abbé, qui avait une voix à peine audible; on aurait voulu "mettre plus fort" mais personne n'a osé lui dire de parler plus fort. Boff! On a quand même survécu!...
Quête, communion, cantiques, on a eu droit à tout le toutim; il faut des sous pour rénover le lieu saint....
Puis vint le moment de la procession; on "désigna des volontaires" pour porter la croix et la bannière verte et rouge. Puis on commença à former le "défilé" à l'intérieur de la chapelle; mais il faut bien dire que les gens se mettaient un peu n'importe comment les uns derrière les autres. Il s'agissait de descendre la route vers le pré où nous attendait du bois bien sec pour faire un feu dit de joie. On a un peu chanté durant la descente au pré mais on était vraiment loin de la religion, faut bien le dire!
Les gens marchaient, descendaient, mais on voyait bien que Dieu n'était pas le premier de leurs soucis! Les gens pensaient à la peine qu'ils auraient à remonter la côte après avoir un peu festoyé!! Les plus malins avaient laissé leur voiture en bas; mais de toutes les façons, ils ont eu quand même à remonter la côte à pieds au moins une fois, comme les autres après.
Donc, arrivés en bas, les gens se sont placés à bonne distance de ce qui allait être le feu de joie. L'abbé a trouvé un allume-gaz automatique, ce qui lui a permis d'allumer le feu, qui s'est mis à brûler bien joliment, il faut le dire. Yen a même qui ont chanté pendant que le bois brûlait! Certains se disaient qu'il pleuvrait sûrement le lendemain, c'est-à-dire ce lundi!...
Après le feu, direction la grande cabane en planches pour boire du café et savourer des gâteaux fabriqués par des dames habitant le voisinage. Nous, nous avons pris une tasse de café, mangé deux crêpes au lait et deux morceaux de très bon far breton; nous avons bavardé avec Jean, le moniteur de judo du coin. Toute la jaune tablée était garnie de monde et chacun donnait des sous comme il voulait car de toute façon, il n'y avait pas de prix affiché; c'était marqué:"pour la chapelle", sous-entendu que cet argent allait contribuer à financer les travaux d'amélioration du lieu saint....
Et puis tout ayant une fin, nous avons fini par nous lever de table un peu avant 6 heures, nous avons très péniblement remonté à pieds la côte, en nous arrêtant plusieurs fois, notre faible coeur battant la chamade. Nous avons été rattrapé par notre organiste Henri Scoul qui visiblement était plus dégourdi que nous; Henri nous a "doublé" à pieds et nous l'avons poursuivi bien poussivement! Nous pensions bien que notre coeur se serait arrêté avant que nous n'arrivions à notre voiture!
Ah, on allait oublier de le mentionner: dans la chapelle, l'organiste de St-Goazec, Alain Le Gall(et sa dame) jouait très très bien de l'orgue sur son clavier....
Et voilà un énième Pardon de St-Michel achevé encore une fois! Y en aura-t-il un autre l'année prochaine? Bien malin qui peut le dire....